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Notes de lecture 2018, Nouveautés

Note de lecture : « Clonck et ses dysfonctionnements » (Pierre Barrault)

Le triomphe ambigu de la ligne de code métaphorique. Somptueusement retors.

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Il importe d’expliquer ceci dès maintenant : Clonck est un volume délimité et la réalité de Clonck est entièrement contenue à l’intérieur de ce volume dont on ne voit que la surface, laquelle ne permet d’observer qu’une projection en trois dimensions de la réalité de Clonck. Et même si personne ici ne songerait à s’en plaindre, force est de reconnaître que cela ne fonctionne pas très bien. On l’a peut-être constaté déjà, on le constatera encore. (11)

Aughrim et Podostrog sont envoyés à Clonck, cité mystérieuse au statut apparemment difficilement définissable. Enquête, inspection, repérage préliminaire pour une opération de maintenance critique ? Les conjectures sont potentiellement nombreuses, et il faudra se heurter avec eux (sous le regard lointain et silencieux d’un groupe de superviseurs, d’expérimentateurs, de contrôleurs ou de savants peut-être bien fous) à la matérialité changeante de cet espace urbain aux géométries fugitives et résolument non-euclidiennes, dans leur quête d’un dénommé Perstorp qui pourrait résoudre bien des mystères, sans que n’intervienne nécessairement un dénommé Logstor, ayant tout ici d’un œil du démiurge qui serait chatouillé d’un désir d’indépendance.

Ils continuent. Podostrog en tête, traçant d’un pas résolu de nouvelles fissures à la surface de la terre pourtant si craquelée déjà ; Aughrim plus loin derrière, gêné dans sa marche par le sol humide et parfois boueux dans lequel il patauge, ronchonne et jusqu’aux genoux s’enfonce.
Ils s’engagent dans une clairière couverte de campamines en fleurs et d’odonbarbes à l’odeur de viande pourrie, et au bout d’un moment, peut-être qu’ils finiront par tomber sur un sanglier végétal ou une vieille dame. (19 et 20)

Successeur de son étonnant et subtilement calculatoire « Tardigrade » de 2016 (dont l’animal attachant qui lui donne son titre apparaît d’ailleurs ici en caméo, à l’occasion d’un recours à une cryptobiose ne devant rien au hasard), ce deuxième roman de Pierre Barrault, publié chez Louise Bottu en mars 2018, s’il utilise avec faconde une anthroponymie typiquement beckettienne, ne doit pourtant rien à un cheminement dans l’absurde au premier degré. Si les périples et les voltes de nos deux agents dévoués peuvent évoquer en filigrane les parcours du Philippe Annocque de « Monsieur le comte au pied de la lettre » ou les ritournelles du Stéphane Vanderhaeghe de « À tous les airs », c’est pourtant plutôt dans le code impitoyable mais ô combien faillible d’une Matrice chère aux soeurs Wachowski – et tout particulièrement à leur omniprésent et multiplicatif Agent Smith – qu’il faut chercher la vérité avant-dernière de la ville de Clonck, du statut de ses visiteurs et de la nature possible de ses dysfonctionnements. De même qu’une ruse informatique et ludique fournissait la clé cachée essentielle de la « Vie des hauts plateaux » (de Philippe Annocque, à nouveau), c’est dans la maîtrise, qui se dérobe sans cesse, du bon langage, et de sa syntaxe mathématique (on songera aussi, certainement, au troublant « Hyperrectangle » d’Aden Ellias) permettant d’accéder à la machine, et d’y constater les réglages nécessaires, quitte à ce que leur réalisation effective revienne à d’autres envoyés, ou à un Sysadmin jamais nommé mais dont le fantôme hante les rues mobiles et répétitives de la bonne ville de Clonck.

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Vient enfin le tour de Podostrog et l’épicier veut savoir ce qu’il désire. Podostrog répond :
– Perstorp.
Observe bien la réaction de l’épicier. Qui sue, mais à peine et tente sans se dégonfler de lui vendre quelque chose de vert.
– Voilà pour vous, monsieur.
Podostrog hésite un instant.
– Non, dit-il, non ce n’est pas ça.
La main la plus velue de l’épicier se pose alors sur quelque chose d’un peu différent, quelque chose de marron, cette fois-ci, et puis non, finalement.
– Désolé, monsieur… je ne suis pas sûr de comprendre.
– Je cherche Perstorp, dit Podostrog.
– Je ne sais pas ce que c’est, dit l’épicier.
– C’est pourtant votre nom, dit Podostrog.
– Vous faites erreur, monsieur.
– Vous mentez, propose encore à tout hasard Podostrog.
– Je crois que vous dysfonctionnez un peu, monsieur, veuillez sortir d’ici ou bien je me verrai dans l’obligation d’appeler Logstor.
– Ce n’était qu’un test, explique Podostrog, oui, un simple test. Inutile d’appeler qui que ce soit. Je sors.
Et il sort.

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Il y a une audace salutaire dans le travail qu’accomplit ici Pierre Barrault., en créant en 160 pages et 136 blocs codés une complexe langue métaphorique susceptible d’explorer certains aspects bizarres de la création littéraire à l’âge où partout percole le digital.  Dès la citation puissamment indicielle du « Philémon » de Fred (et dans la ligne d’exégèse joliment conduite par Pacôme Thiellement dans son « Pop yoga »), la lectrice ou le lecteur saura qu’il va bien falloir explorer ce qui se joue entre les pages, derrière le décor des cases et des phylactères, que les lettres des mots Python ou Scheme, comme jadis celles d’Atlantique, doivent être examinées de près, traquées et évaluées, même si l’on décide par convention d’en appeler certaines Perstorp ou Logstor. Roman graphique dont le graphisme aurait été évacué vers un autre fichier (comme on enlèverait dans ces pages, justement, leurs ailes amples et majestueuses aux aptères), roman où les robots conversationnels voisineraient avec les Plume au restaurant, où les identités peuvent varier au gré d’un scénario narratif trafiqué à la GTA, où des virus encore inconnus viendraient exposer un Podostrog au risque d’être « Sans nouvelles d’Aughrim », où des roulades avant prendraient l’épaisseur dangereuse de celles de « Zaï zaï zaï zaï », « Clonck et ses dysfonctionnements » est bien l’un de ces textes superbement retors dans lesquels il s’agit de se battre joueusement pour, comme aurait pu le dire peut-être Christian Prigent,  (re)trouver sa propre langue enfouie sous le langage de la convention, que celle-ci soit tacite ou exprimée en manuel d’utilisation.

Clonck est une ville à géométrie variable. (24)

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À propos de Hugues

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Discussion

10 réflexions sur “Note de lecture : « Clonck et ses dysfonctionnements » (Pierre Barrault)

  1. alors la si il y a un dessin de Fred avec Philémon,alors là je craque

    donc « Lost Empress », c’est beau comme un dessin de Fred

    « Lost Empress » (2018, Pantheon Books, New York, 632 p.), soit « L’Impératrice Perdue », ce qui n’est pas un très beau titre. Mais un très étrange livre, le troisième de Sergio de La Pava, après « A Naked Singularity » (2012, The University of Chicago Press, 690 p.) traduit par Claro en « Une Singularité Nue » (2016, Le Cherche Midi, 850 p.) et « Personae » (The University of Chicago Press, 216 p.). C’est en définitive ce dernier que je préférais.

    Etrange livre car il commence par un « Prologue », ce qui est bon signe, mais qui n’a que deux pages, suivi d’un « Logue » où « Toute Chose est dans Tout » et inversement « Tout est dans Toute Chose ». On dirait du Pierre Dac. Cela se poursuit par des chapitres numérotés en ordre décroissant, compte à rebours jusqu’à une apocalypse annoncée ? C’est le chapitre zéro. Puis « L’Epilogue » terminal qui lui aussi se résume à un titre « Fissures récursives ». Voilà, au lecteur de faire le tri. Après tout, qu’il se débrouille. L’auteur est avocat (brillant) commis d’office (Public Defender) à NYC. Il a l’habitude.

    On rencontre donc, par ordre d’apparition ou dans le désordre, Nina Gill et son frère Daniel. Tous deux sont les enfants de Worthington Gill, le propriétaire des « Dallas Cowboys », club qui vient de remporter pour la troisième année de suite le Superbowl de la NFL (National Football League). Sachant que le père, en se retirant, laisse le Club des « Dallas Cowboys » à son fils, et pour sa fille, il lui fait cadeau du « Paterson Pork » New Jersey, club de IFL (Indoor Football League). On constate de suite les deux poids, deux mesures.
    Nuno DeAngeles qui part en vacances forcées à Rickers Island, île quasi paradisiaque à la hauteur de Harlem, aux 10 établissements pénitentiaires pour 17000 personnes sélectionnées (hommes, femmes et mineurs). Mais il est vrai que « A Rikers Island, il n’y a pas de saisons. Cela s’appelle Rickers Island avec raison, et on ne s’attend pas à des changements spectaculaires de la part d’un rocher ». Il y également quelques hommes, d’affaires ou de lois, pour conseiller ce beau monde. Comment se fait-il que « cette ile de 90 acres ait été vendue à la ville » pour devenir de nos jours « 415 acres d’atrocités ». En partie à cause de l’addiction. « L’addiction d’un segment particulier de l’humanité à faire prisonnier et enchaîner ses compagnons humains ».
    Donc commençons la lecture des ces 88 chapitres, ou tels. Chacun traite d’un groupe de personnages particuliers, avec un style propre. Cela commence par des dialogues entre Daniel et Nina Gill, ou entre Nina et un tenant de bar à propos de clubs de football. Les dialogues sont très aérés, ce qui permet une lecture rapide. Non pas une suite de tirets – à la ligne, mais le nom de l’intervenant en milieu de ligne, un espace et la conversation. Ce sera le cas pour pratiquement tous les dialogues. Ceux-ci sont parfois entrecoupés, avec une typographie différente par des évènements extérieurs. Les dialogues se déroulent en langage soutenu entre Nina et Daniel. En argot américain des banlieues pour ce qui concerne Nuno. En espagnol parfois pour la famille de Jorge de Cervantes. Ce qui est normal pour cette famille originaire de Manizales, qui vient d’être victime d’un accident. On aura aussi l’occasion de lire les appels au central du 911, le Samu local, ou les interventions à Bellevue Hospital avec Travis Mena.

    Entre parenthèses, Bellevue Hospital, le plus grand établissement de New York, dans le bas de Manhattan, spécialisé en psychiatrie et traitement des urgences, est l’endroit où Malcolm Lowry a séjourné pour une cure de désintoxication. Il en tire « Lunar Caustic » et « Le Caustique Lunaire » (1987, Maurice Nadeau, 220 p.), ressorti récemment en version très annotée « Swinging the Maelstrom. A Critical Edition » éditée par Vik Doyen (2013, University of Ottawa Press, 202 p.). C’est là que se passe, pendant sa cure de désintoxication, la scène de la tempête avec des animaux d’un zoo, que l’on retrouve dans « La Traversée du Panama » d’ailleurs. C’est sur le « Providence » qui transporte « son chargement de bêtes sauvages. Il n’y avait pas que des lions, mais aussi des éléphants, des tigres, des jaguars, tous destinés à un zoo ». Scène assez fantastique. Par ailleurs, cela ne fait pas de mal de citer Malcolm Lowry, qu’il faut lire et relire, par exemple dans « Romans, Nouvelles et Poèmes » (1995, La Pochothèque, 1087 p.). Quant à le citer ici, c’est tout à l’honneur de Sergio de la Pava.
    On trouve aussi dans le livre plusieurs chapitres, ou encarts comme cette reproduction du règlement interne des détenus « Inmate Rule Book » du NYC Department of Correction. Ou alors les enregistrements d’appels du 911. Des pages du journal intime de Nuno DeAngeles, lors de son arrivée à Rickers Island, ou ses réflexions dans sa cellule, voire ses poèmes. Bref, un changement de style à chaque fois, ce qui fait un rythme soutenu et une lecture facile du livre. Et sur une bonne vingtaine de pages, la reproduction typographiée de la défense de Nuno devant un Grand Jury. Un pur bonheur de lecture.

    Cela ne fait pas avancer l’histoire. En fait si. Ce sont des morceaux d’un puzzle, qui au fur et à mesure s’assemblent. On rencontre ainsi Solomon, le compagnon de cellule de Nuno. Mais ce dernier n’est pas tout seul « only ally now is René Descartes » (mon seul allié maintenant c’est René Descartes). Un grand moment consiste en l’entrevue entre Nuno et Eward Coin, son conseiller. Deux mondes qui se font face et ne se comprennent pas toujours. Surtout quand Nuno se met à parler de Musil et de son « Homme sans Qualités ». Mais il est vrai que son interlocuteur est docteur en droit et non docteur en littérature.
    Et les « Paterson Pork » alors ? Paterson, avec ses Patersonites « Home in on Us », au bord de la « Passaic River », et son équipe dénommée ainsi car en partie fondée avec l’aide d’un boucher local, Mario Bent « presque autant connu que le maire ». Le plus fort c’est que la ville existe réellement, en tant que banlieue Ouest de New York, située sur la Passaic River. Jim Jarmusch y a même tourné un film intitulé « Paterson », histoire d’un conducteur de bus amateur. Le film a même été présenté à Cannes en 2016. C’est aussi la ville de naissance de William Carlos Williams, et aussi de Allen Ginsberg. Dans le livre, c’est le docteur Travis Mena qui fera la mascotte du club, déguisé en cochon. (Qu’en penserait le bon Sigmund ?). Quant à l’action de Nina et de Dia au niveau de l’IFL, il y a des propositions intéressantes pour augmenter l’attraction aux matchs. Je n’en dirai pas plus sur ses rapports avec la NFL. Et puis c’est une histoire purement familiale (avec il est vrai à la clé des recettes importantes). Mais si les gogos veulent bien payer… On découvre aussi les autres clubs avec des noms typiquement footbalistiques. Les « The Weather Wheel » (la Roue du Temps ), les « Liquid Laceration » (Lacération Liquide) ou les « Louisville Locust » (criquet de Louisville), à ne pas confondre avec les « Not in Kansas Anymore » (Plus Jamais au Kansas).

    Alors que vient faire là Salvador Dali, avec un (petit) chapitre, le 69 consacré à sa vie, son œuvre. Biographie qui commence d’ailleurs par sa mort en 1989, pour se terminer par sa naissance en 1904. On y apprend qu’il a fait don à Rikers Island d’une toile en 1965 « La Crucifixion ». La visite de Dali, accompagné de Gala et de Babou, son ocelot, n’est pas très discrète. Malade, Dali n’a pas le moral, mais se met à l’œuvre et en à peu près une heure crée la toile d’encre et de fusain, une pièce de quatre par cinq pieds sur papier. Qui jaunit avec l’âge. Tout d’abord accrochée dans le réfectoire, la toile est ensuite placée au centre d’accueil de la prison, pour plus de sureté. En fait, en 2003, des gardiens déclenchent une alarme incendie, et la toile est remplacée par une pâle copie. Les gardiens sont vite soupçonnés, arrêtés, mais l’original n’est pas retrouvé. Ce que ni l’histoire, ni Google, ni l’éditeur Pantheon, ne disent, c’est que Nina était au courant de la peinture, de même que Nuno. C’est tout de même une œuvre à « seven fucking figures ». Après le million, on n’énonce plus de valeur, seulement le nombre de zéros, c’est une tradition éthique.
    Quelques réflexions aussi sur la condition humaine. Comment se fait-il que « cette ile de 90 acres ait été vendue à la ville » pour devenir de nos jours « 415 acres d’atrocités ». En partie à cause de l’addiction. « L’addiction d’un segment particulier de l’humanité à capturer et enchaîner ses compagnons humains ». En tant que « Public Defender », Sergio de la Pava connait bien, à la fois les lieux, les protagonistes et les habitudes. Cela était déjà notable dans les premiers chapitres de « A Naked Singularity ». La rédaction de la défense de Nuno DeAngeles qui forme le chapitre 5 est une transcription sur 28 pages des paroles de l’accusé devant un Grand Jury. Un modèle du genre, où Nuno passe en revue les massacres de Pol Pot au Cambodge en 1975, en Lituanie en 1941, pour en finir avec le suicide de Matak, au plutonium 210 dans sa tasse de thé. Suicide pour lequel on l’accusait de meurtre. Tout de même, ce n’est pas lui qui tournait la cuiller. C’est tout juste si l’on n’a pas une description des vicissitudes engendrées par cet élément radioactif.
    Brillant orateur que ce Nuno, qui a déjà réussi à retourner son conseiller Edward Coin, et qui a donné des sueurs froides durant son séjour au Bellevue Hospital, lorsqu’il discute tranquillement au 11ème étage avec des physiciens théoriciens ou plutôt avec « The Theorist ». Est-il vraiment relevant des pratiques psychiatriques, ou alors est ce quelqu’un arrivé là par hasard, ou pur calcul, hors de ce temps qu’il étudie si bien. « Le temps est probablement une pure construction humaine ». Il y est question des 88 itérations sur les variétés de Calabi-Yau. Ce sont des variétés kählériennes admettant une (n, 0)-forme holomorphe définie globalement et ne s’annulant nulle part. En vente chez tout bon droguiste ou à défaut chez votre papetier habituel au rayon Origami. Par contre le Theorist ne s’enmêle pas les chiffres lorsqu’il est question de « The Absence » qui a doublé la mise « the purchase price on us », mais « il leur faut savoir s’ils seront capables de le faire »

    Serait-ce que le métier d’avocat aux USA soit à ce point de basse culture, et que cela aboutisse à des enfermements de masse ? Enfermenents physiques ou psychiques, c’est à peu près pareil. « Man, you’re like all sunken and shit. Seven figures, bro. No reaction ? ». C’est bizarre, mais cette réflexion me renvoie à un débat actuel sur plus de prisons (et donc de prisonniers). Le problème français vient peut être de ce qu’il n’y a pas assez de toiles de peintres modernes dans les nouvelles prisons. La tentation sécuritaire, ou l’addiction dénoncée par Sergio de la Pava. Intéressant de voir comment un simple roman peut induire des notions autres, sur le football américain et ses pratiques, par exemple. A ce sujet, on m’avait donné à lire, il y a quelques temps un livre de David James Duncan «The Brothers K » (1996, Dial Press Trade Paperback, 645 p.), livre, il est vrai centré sur le baseball. Soit disant livre culte ( ?), je n’ai jamais trop compris ce que c’était, ni comment le définir. Par un heureux hasard, le livre n’a pas, à ma connaissance, été traduit.
    Reste tous ceux dont je n’ai pas parlé. La famille de Cervantes, en fait dont Nuno est un cousin. Le prêtre italien de Rikers « Father Simon Ventimiglia » au rôle plus que trouble dans sa conception de la rédemption des âmes. Et puis il y a « The Absence » qui apparait souvent en arrière plan dans les manœuvres de Solomon et de Nuno, mais aussi de Dia Nouveau « Deputy Commisioner » qui agit aux cotés de Nina Gill.

    Bien entendu, je ne révélerai pas la fin. Ni les résultats de la finale du Superbowl. Dont le match de la phase finale de 1989, à Oakland, a failli tourner au drame, car juste avant la fin du match, il y eut le séisme de Loma Prieta à une centaine de kilomètres au Sud, dans la baie de Santa Cruz. Ce qui a provoqué des dégâts importants sur la Nimitz Freeway, ainsi que le basculement du tablier du Baybridge qui relie Oakland à San Francisco. A quelques minutes près, le match aurait été terminé, et les autoroutes saturées, avec les dégâts humains que l’on peut envisager.

    la suite une autre fois

    Publié par jlv.livres | 30 Mai 2018, 18:47

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