Entre saga islandaise ancestrale, jeu vidéo contemporain et exégèse mallarméenne, une très beckettienne fin de partie poétique. x x x Je ne rêve pas. Pour être plus précis : j’ai conscience du rien. Si le sommeil est un canevas de ténèbres sur lequel nous brodons des merveilles, pour moi ce noir, cette absence de tout, … Lire la suite