Extraire d’un absolu cliché romantique la rare essence surréaliste des témoins du Desdichado. x Publié en 1945 chez José Corti, le deuxième roman de Julien Gracq, à l’écriture interrompue par la guerre, capitalise bien entendu sur la magie diaphane et sur le succès d’estime rencontré sept ans plus tôt par « Au château d’Argol », et use … Lire la suite