Entre saga islandaise ancestrale, jeu vidéo contemporain et exégèse mallarméenne, une très beckettienne fin de partie poétique. x x x Je ne rêve pas. Pour être plus précis : j’ai conscience du rien. Si le sommeil est un canevas de ténèbres sur lequel nous brodons des merveilles, pour moi ce noir, cette absence de tout, … Lire la suite
Grande maestria pour un bon roman noir de grand banditisme. x Publié en 2012 à l’Écailler, ce roman de Sébastien Doubinsky s’apparente à un exercice de style, disons-le nettement même si le mot est bien galvaudé, très jubilatoire. Maîtrisant parfaitement les codes du « noir de grand banditisme », l’auteur habituellement subtilement politique nous livre ici un … Lire la suite