Saveur japonaise et de l’entre-deux. x Au cours de son expérience singulière du bilinguisme, entre les langues japonaise et française, Ryoko Sekiguchi a buté sur le mot astringent, ou plutôt sur l’écart entre ses significations françaises – où le mot désigne une substance qui a pour propriété de resserrer les tissus, ou, en tant qu’adjectif, … Lire la suite
Le deuxième autofictif, encore plus savoureux que le premier. x Publié en 2010 à l’Arbre Vengeur, ce deuxième volume du « journal » d’Éric Chevillard (journal que j’ai découvert tardivement, à la différence des romans de l’auteur, aimés depuis fort longtemps, en ce début d’année 2015, avec « L’autofictif au petit pois ») succédait à « L’autofictif », et offrait déjà … Lire la suite