L’étonnante et superbe poésie prolétaire d’un journal d’intérimaire dans l’agro-alimentaire breton. x En entrant à l’usine Bien sûr j’imaginais L’odeur Le froid Le transport de charges lourdes La pénibilité Les conditions de travail La chaîne L’esclavage moderne Je n’y allais pas pour faire un reportage Encore moins préparer la révolution Non L’usine c’est pour les … Lire la suite
La tête contre les murs de l’usine à viande. x Tout est plus difficile aujourd’hui, c’est sûr, enfermé à double tour dans cette geôle de béton et de barbelés, à entendre les cris, à entendre les claquements des lourdes portes métalliques, à entendre tout ce vacarme, comme un rappel de l’usine, des hurlements des scies … Lire la suite