La plus puissante illustration connue de l’horreur piégeuse contenue dans la terrible formule : « Il nous faudrait une bonne guerre ». x RELECTURE Publié en 1951 chez José Corti, le troisième (et avant-dernier) roman de Julien Gracq est considéré à très juste titre comme son œuvre majeure dans le domaine de la fiction. À l’époque, le … Lire la suite
Extraire d’un absolu cliché romantique la rare essence surréaliste des témoins du Desdichado. x Publié en 1945 chez José Corti, le deuxième roman de Julien Gracq, à l’écriture interrompue par la guerre, capitalise bien entendu sur la magie diaphane et sur le succès d’estime rencontré sept ans plus tôt par « Au château d’Argol », et use … Lire la suite